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Le groupe envoie un message fort au NLC et au TUC concernant la grève nationale – Radio VIAL

Le Centre pour les droits de l’homme et la croisade anti-corruption (CHURAC) a appelé le Congrès du travail nigérian (NLC) à mettre fin à sa grève nationale en cours pour le bien des masses, y compris des travailleurs nigérians.

Le président du conseil d’administration du CHURAC, Ebikonbowei Alaowei, a lancé cet appel mardi dans un communiqué mis à la disposition des journalistes à Abuja.

Selon Alaowei, rien ne justifie que l’Union ferme le pays en raison du conflit personnel entre son président, le gouverneur de l’État d’Imo et la police nigériane.

Le communiqué se lit comme suit : « Ceux qui seront les cibles de cette grève sont les mêmes travailleurs nigérians à bas salaire et les masses au chômage.

« Ni le gouverneur de l’État d’Imo, Son Excellence le sénateur Hope Uzodimma, ni l’ancien commissaire de police de l’État d’Imo ne seront concernés par cette grève. Que gagneront les travailleurs à la fin de cette grève inutile ?

« Le président du NLC, qui a été attaqué par la police sur les ordres présumés du gouverneur Uzodimma, devrait demander réparation devant le tribunal.

« Cette grève n’a pas sa place. Vous ne pouvez pas entraîner le pays tout entier dans vos affaires personnelles avec les représentants du gouvernement. Le NLC et le TUC devraient respecter le caractère sacré des tribunaux.

« Une décision de justice est en attente empêchant les agences de mener cette action revendicative. Nous sommes dans une démocratie constitutionnelle et la démocratie repose sur l’État de droit. Sans tribunaux, il n’y a pas d’État de droit.

« Par conséquent, chaque individu doit obéir à une décision de justice, quelle que soit sa position dans la société. Si les syndicats ne sont pas à l’aise avec cette ordonnance, ils devraient alors faire appel au lieu de désobéir. »

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